Les faits se sont déroulés le 27 juin 2017 dans les rues de St Étienne, un homme de 56 ans s’est agrippé à la jambe d’un militaire en patrouille.
Vu la menace terroriste actuelle, la question de la tentative de vol de l’arme du militaire pour commettre un acte terroriste s’est d’abord posée lors de l’audience puis le tribunal a rapidement écarté cette hypothèse suite au témoignage des militaires qui ont évoqué un homme non-violent qui s’est rapidement excusé auprès d’eux.
L’individu souffre de schizophrénie depuis une trentaine d’années, le parquet a demandé 4 mois de prison avec sursis et une obligation de soins.
Le juge a accepté en ajoutant qu’il devrait pris en charge dans un foyer.