On parle d’incendie de forêt lorsque le feu concerne une surface minimale de 0,5 hectare d’un seul tenant, et qu’une partie au moins des étages arbustifs et/ou arborés (parties hautes) est détruite. La dénomination vaut aussi pour les incendies qui touchent le maquis, la garrigue ou encore les landes.
Pour qu’il y ait inflammation et combustion, trois facteurs doivent être réunis :
Un feu peut prendre différentes formes selon les caractéristiques de la végétation et les conditions climatiques dans lesquelles il se développe.
Généralement, l’été est la période de l’année la plus propice aux feux de forêt, car aux effets conjugués de la sécheresse et d’une faible teneur en eau des végétaux s’ajoute une forte fréquentation de ces espaces. Mais le danger existe aussi en fin d’hiver et au début du printemps, notamment dans le massif landais ou dans les zones de moyenne montagne.
Un feu de forêt peut être d’origine naturelle (dû à la foudre ou à une éruption volcanique) ou humaine : soit de manière intentionnelle, soit de manière accidentelle (barbecue, mégot de cigarette, feu d’écobuage mal contrôlé, travaux…). Il peut également être provoqué par des infrastructures (ligne de transport d’énergie, dépôt d’ordure, ligne de chemin de fer, etc.).
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