Feu à Menace terroriste : 63 nouvelles propositions pour mieux lutter

Signaléà 12h38
État du feuattaque en cours
Toggle
AJOUTER
info/média
📝 Aucun message dans la main courante pour le moment

Feux de forêt est communautaire et les informations publiées peuvent être erronées.

La commission d’enquête sur l’organisation et les moyens des services de l’État pour faire face à l’évolution de la menace terroriste après la chute de l’État islamique, présidée par M. Bernard Cazeau (LaREM – Dordogne), et dont la rapporteure est Mme Sylvie Goy-Chavent (UC – Ain), a adopté son rapport.

Celui-ci dresse un triple constat :

  1. la menace terroriste reste à un niveau très élevé en France en dépit des revers militaires de Daech en Syrie et en Irak ; cette menace est de nature essentiellement intérieure, avec des passages à l’acte inspirés par la propagande djihadiste ;
  2. cette menace terroriste a conduit les pouvoirs publics à renforcer le dispositif antiterroriste: mobilisation des services de renseignement, accroissement des moyens budgétaires et juridiques, adaptation de la réponse pénale, extension de la coopération européenne et internationale, développement de la prévention ;
  3. cependant, de fortes inquiétudes persistent, en particulier l’influence du salafisme et du radicalisme islamiste, les tâtonnements de l’administration pénitentiaire dans la prise en charge des détenus radicalisés, les difficultés de la lutte contre la propagande djihadiste sur Internet et les limites des plans gouvernementaux de prévention.

Dans ce contexte, la commission d’enquête a formulé 63 propositions relevant de différents domaines (renseignement, échange d’informations, organisation judiciaire, arsenal pénal, prise en charge pénitentiaire, suivi des mineurs, coopération extérieure, prévention et moyens) et visant à mieux lutter contre le terrorisme.

Dix de ces propositions lui paraissent plus particulièrement importantes :

  1. mettre en place, dans chaque département, un pôle de lutte contre l’islam radical pour mieux contrer le communautarisme et la prégnance du fait religieux dans certains quartiers ;
  2. mettre davantage en œuvre la possibilité d’expulser des individus radicalisés fichés S de nationalité étrangère ;
  3. faire des maires des acteurs à part entière du renseignement, notamment en les conviant aux réunions des groupes d’évaluation départementaux (GED) et en leur donnant accès à la liste des individus inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT) présents dans leur commune ;
  4. intégrer les détenus de droit commun les plus engagés dans un processus de radicalisation dans le dispositif des quartiers d’évaluation de la radicalisation (QER) ;
  5. appliquer aux détenus pour terrorisme (TIS) binationaux la disposition du code civil permettant de déchoir de leur nationalité française les binationaux ayant commis des actes de terrorisme ;
  6. assurer un suivi à long terme, au moins jusqu’à leur majorité, des mineurs returnees bénéficiant actuellement d’un double suivi socio-judiciaire ;
  7. étendre au terrorisme les compétences du futur parquet européen;
  8. réaffirmer les valeurs de la République et mobiliser l’ensemble de notre arsenal juridique pour lutter contre les troubles à l’ordre public que peut provoquer le salafisme (interdiction du niqab dans l’espace public ou fermeture de lieux de culte incitant à la violence ou à la discrimination) ;
  9. inscrire le salafisme sur la liste des dérives sectaires de la Miviludes ;
  10. inviter l’islam de France à mieux se structurer et à se financer de façon plus transparente.

La commission d’enquête, créée en janvier 2018 à l’initiative du groupe Union centriste, a entendu 49 personnalités au cours de 32 auditions et a effectué 4 déplacements.

Signalements à modérer :
Aucun signalement à modérer.

Cartographies

L'état du risque et les feux près de chez vous.

Prévention

Citoyens, élus et professionnels : tout ce qu'il faut savoir !

Lamothe-Goas (32)

Bessan (34)

Béziers (34)

Les feux de forêt représentent une menace majeure, surtout en période estivale et dans les zones à végétation dense. Voici quelques précautions essentielles à prendre à Menace terroriste : 63 nouvelles propositions pour mieux lutter comme partout en France, pour réduire le risque d’incendie et protéger votre sécurité ainsi que celle des autres :

1. Débroussaillement

Le débroussaillement est une obligation légale dans de nombreuses zones à risque, comme à Menace terroriste : 63 nouvelles propositions pour mieux lutter. Il consiste à nettoyer la végétation pour réduire la quantité de combustibles disponibles pour un incendie. Cela inclut la coupe des herbes hautes, des broussailles et l’élagage des arbres.

  • Zones concernées : Terrains situés à moins de 200 mètres des bois et forêts, abords des constructions, chantiers, et installations de toute nature sur une profondeur de 50 mètres, voire 100 mètres sur décision du maire​​​​.
  • Responsabilités : Le propriétaire ou l’occupant des lieux doit s’assurer que le débroussaillement est effectué régulièrement​​.

2. Interdictions de feu

Il est interdit d’allumer des feux à proximité des zones boisées, surtout pendant les périodes à haut risque d’incendie. Cette interdiction inclut :

  • Feux de camp à Menace terroriste : 63 nouvelles propositions pour mieux lutter (vérifier la politique départementale et communale).
  • Barbecues non sécurisés
  • Décharges incontrôlées

3. Interdiction de fumer

Il est strictement interdit de fumer dans les bois et forêts et à moins de 200 mètres de ceux-ci pendant la période à risque d’incendie​​.

4. Usage des appareils et outils à Menace terroriste : 63 nouvelles propositions pour mieux lutter

L’utilisation d’appareils pouvant générer des étincelles ou de la chaleur intense (comme les tronçonneuses et les tondeuses) est réglementée. Il est conseillé d’éviter leur usage pendant les heures les plus chaudes de la journée et de toujours avoir un moyen d’extinction à portée de main (comme un seau d’eau ou un extincteur).

5. Information et prévention

Les propriétaires de Menace terroriste : 63 nouvelles propositions pour mieux lutter sont tenus d’informer les locataires et les nouveaux acquéreurs des obligations de débroussaillement et des risques d’incendie. Les documents d’urbanisme doivent inclure des cartes indiquant les zones à risque​​​​.

6. Plan de prévention des risques

Les autorités locales élaborent des plans de prévention des risques naturels prévisibles en matière d’incendies de forêt. Ces plans incluent des mesures spécifiques pour chaque territoire, visant à diminuer le nombre de départs de feux et à réduire les surfaces brûlées​​.

7. Sanctions

Le non-respect des obligations de débroussaillement peut entraîner des sanctions à Menace terroriste : 63 nouvelles propositions pour mieux lutter, y compris des amendes administratives et pénales. Par exemple, une amende de 50 €/m² non débroussaillé peut être appliquée​​.

Pour plus d’informations, veuillez consulter les documents réglementaires disponibles sur Legifrance.

En adoptant ces mesures, vous contribuez à la sécurité de Menace terroriste : 63 nouvelles propositions pour mieux lutter et à la protection de nos précieuses forêts.

Où trouver la localisation des feux en cours ?

Vous pouvez retrouver la carte des incendies de végétation en cours sur le site de Feux de Forêt, dans l’onglet “Situation & Vigilance“, puis “Feux en cours”.

Cartographie